Celui qui n’a pas tué

Celui qui n’a pas tué

Celui qui n’a pas tué par Maurice Renard.

Jean Fortel, blessé à la jambe par un sanglier durant une partie de chasse, est contraint de rester alité.
Sa femme, qu’il aime comme un fou, a prévu d’assister, avec une proche, à la représentation de Pelléas et Mélisande à l’Opéra-Français.
Jean décide de communier avec elle à distance en écoutant la pièce retransmise via le théâtrophone.
Lors d’un entracte, il demande à son ami Marc, tout juste revenu d’un long voyage de 18 mois (après une rupture difficile), de venir passer la soirée en sa compagnie.
Alors que les deux camarades philosophent sur l’amour, des cris retentissent depuis le théâtre : « Au feu ! Au feu ! » puis des crépitements qui ne laissent aucun doute sur le drame qui est en train de se dérouler à l’autre bout du fil…

Maître dans l’art du merveilleux scientifique, Maurice Renard l’est aussi dans celui du suspense et des chutes ; il prépare un cocktail final façon Kisscool


Ce document a été réalisé par les éditions Opoto à partir de Celui qui n’a pas tué par Maurice Renard paru dans La Petite illustration le 17 décembre 1927

Le document numérisé se trouve sur Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF

Image de couverture (détail) : René Lelong (pour l’édition de La Petite illustration)


ISBN : 978-2-37952-060-0

Éditions Opoto, février 2022

Domaine public / CC0

Pas de copyright

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